Victoire Cathalan

Victoire Cathalan vit et travaille à Genève.

Elle entretient un rapport environnemental et un lien substantiel à l’œuvre d’art. La diversité de media qu’elle a pu expérimenter (photo, gravure, peinture, sculpture), notamment au travers des arts décoratifs, l’ont amenée à une recherche profonde dans la relation de l’Homme à la nature et la place de l’artiste dans le monde.

La matière même du support, telle que la toile vierge, et le jeu des textures témoignent de l’importance des éléments pour donner existence aux sujets de ses peintures. L’empreinte traduit la « peau » de l’arbre, l’homme éphémère et la nature pérenne, la fluidité révèle les reflets, l’eau, les fenêtres… Les connexions s’opèrent entre les univers humain et végétal.  Elles nous invitent au jeu et à la réflexion. Les arbres s’humanisent, les forêts se mêlent aux cités.

Si les dessins de l’artiste tendent vers une expression organique, expriment l’infiniment grand et l’infiniment petit, sa peinture montre davantage un sentiment de plénitude, une architecture végétale. Ces œuvres ouvrent à l’imaginaire, à l’extraordinaire, à l’inattendu et au magique. Un travail universel, à la frontière entre réalisme et abstraction.


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Victoire reverse 5% de ses ventes à l’association Canopée Forêts Vivantes.

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Juliette Sallin

Juliette Sallin est une sculptrice et artiste d’installation, inspirée par les paysages végétaux et la manière dont nous les percevons et remémorons à travers nos sens. Ses œuvres sont constituées principalement de textiles, mais aussi de bois, papier et laiton, transcrivant la beauté des éléments par leur forme et couleur, mais aussi par leurs qualités tactiles et même parfois odorantes.

Une grande partie de son processus est consacré aux teintures végétales. Les feuilles, fleurs, racines et écorces qu’elle utilise contiennent de précieux pigments qui confèrent aux textiles une vibration particulière, comme si l’essence des plantes étaient transposée dans la matière textile.

Née en 1980 à Genève, Suisse, Juliette Sallin a étudié le design textile à l’Université de Florence, les nouveaux médias à HEAD Geneva et Kingston University (GB). Deux fois récompensée par la Fondation Swiss Ikea (2009 et 2013), Juliette a exposé son travail en Suisse et en Grande-Bretagne. Ses œuvres font partie de collections en Europe et en Amérique du Nord.


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Juliette reverse 5% de ses ventes à l’association Printemps d’abeilles.

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Manuela Paul-Cavallier

Artisane et artiste, Manuela Paul-Cavallier évolue en immersion dans un univers créatif fait de poétiques réflexions dorées.

​La subtilité de la feuille d’or inspire une autre manière de communiquer, grâce aux jeux d’ombre et de lumière, pour donner de la profondeur aux œuvres ou objets. Ces vibrations aux mille facettes, théâtrales ou discrètes, prolixes ou poétiques, jonglent avec les différentes couleurs du métal. 

Créatrice d’œuvres abstraites faites de pigments et de feuilles d’or et d’argent, guidée par l’esthétique de la soustraction, elle exprime à travers les reflets dorés le silence purifié de multiples réflexions.  

Née en Lorraine, Manuela Paul-Cavallier a suivi une formation de 10 années à Florence, en Italie. was trained for 10 years in Florence, Italy. Restauratrice-doreuse pendant 25 ans, elle est labellisée RIMPA et fut a été lauréate de la Villa Kujoyama au Japon.


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Manuela reverse 5% de ses ventes au Centre de Ressources de Botanique Appliquée (Lyon, FR).

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Mauren Brodbeck

Artiste. Cinéaste. Photographe. Compositrice. Designer. Performeuse. Spécialiste de la couleur. Difficile de choisir un seul mot ou même une expression pour présenter Mauren Brodbeck et l’extrême richesse de son travail. Au fil d’un parcours cosmopolite, l’artiste suisse construit et façonne une œuvre colorée aux multiples et fascinantes facettes. Collages, œuvres photographiques, films, conférences et expositions, branding et décoration d’intérieur, performances et musiques… Profondément éclectique, cet ensemble forme un kaléidoscope multi-sensoriel où chacun peut se reconnaître.

Mauren Brodbeck est diplômée de la Vancouver Film School, de l’Art Center of Design de Pasadena et de la Haute École d’Art et de Design de Genève. Exposées dans des foires, notamment Photo Miami, Paris Photo ou encore Art Cologne, ses œuvres ont aussi rejoint des collections publiques et privées, dont le Musée de l’Élysée à Lausanne, le Fonds cantonal d’art de Genève et la Fondation Auer Ory pour la Photographie à Hermance…


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Mauren reverse 5% de ses ventes à l’association Terrasses Sans Frontières.

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Festi’Toit 2021

L’association Terrasses Sans Frontières et Sustainable Art Market vous invitent le 25 Septembre 2021 de 18h-22h à la coopérative de Soubeyran. En collaboration avec l’artiste Mauren Brodbeck et le festival du Film Vert!  Plus d’infos >>> https://atsf.ch/festitoit/

Benoît Fournier

Benoît Fournier (1981, France) est artiste visuel transitant entre la France et le Brésil. Il travaille avec la photographie, l’installation, la vidéo et la gravure. Il a étudié à l’Ecole des Arts Visuels du Parque Lage à Rio de Janeiro. Le monde visuel qu’il s’attache à construire accorde une place centrale à l’harmonie entre l’individu et son milieu naturel, son travail se situant entre mémoire personnelle et collective. C’est un regard à la fois intime et profond sur cet accord de l’« être au monde » que Benoît nous propose, au moyen de constructions poétiques se situant entre le réel et l’imaginaire.


En tant qu’artiste représenté par Sustainable Art Market, Benoît reverse 5% de ses ventes à l’association Nature Rights.

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Anne Perier

Anne Perier est une artiste française née en 1993, diplômée de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Elle vit et travaille à Paris.

Anne marche, observe, contemple, s’inspire du paysage. Elle va à la rencontre de territoires et élabore empiriquement ses méthodes de travail. Elle façonne seule et simplement les matériaux qu’elle rencontre, en utilisant peu de moyens. Elle découvre à chaque fois une géographie, un environnement d’où découlent de nouvelles façons de travailler. Sa démarche est à but exploratoire.

Dans le cadre de son travail intitulé « Atelier à 721m », elle choisit d’établir un atelier en pleine nature, dans les Alpes de Haute-Provence, près de Digne-les-Bains. Munie de cinq outils (scie, couteau, ciseau à bois, fils et boite d’allumettes), elle se donne pour protocole d’entrer en immersion dans le lieu où elle se trouve, de consacrer plusieurs semaines à expérimenter au gré des matériaux qui l’entourent, et de fabriquer, intuitivement et simplement, une série d’objets.

Le but n’est pas la survie, mais la création, avec peu de moyens. Avec cet atelier, Anne crée les conditions d’une expérience, où il s’agira de se plonger dans un contact patient, prolongé, avec les éléments qui l’entourent. C’est un lieu suspendu, dans l’espace et dans le temps, où la jeune artiste, formée au design, peut renouer avec la nature, mais aussi avec le plaisir spontané de concevoir des objets.


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Anne reverse 5% de ses ventes à l’association Terre de Liens (partenariat en cours).

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Océane Jacob

Après avoir grandi à Hong Kong puis rejoint Chicago pour obtenir un Bachelor en Fine Art auprès de l’Institut d’Art de Chicago (SAIC), Océane Jacob vit et travaille aujourd’hui à Paris.

Si ses sculptures dénoncent la fragilité du corail, l’ampleur du commerce des ailerons de requin ou l’invasion des déchets, ses photos sous-marines, elles, mettent en avant la beauté de l’océan et sa vulnérabilité dans le monde moderne.

Océane montre également une certaine sensibilité aux problèmes de société qu’ils soient d’ordre politique ou culturel. Elle cherche à informer sans crainte de s’engager et veut susciter auprès de son public l’envie de protéger les plus vulnérables.


En tant qu’artiste représentée par Sustainable Art Market, Océane reverse 5% de ses ventes à l’association BLOOM.

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Vincent Laval

Né en 1991, Vincent Laval a étudié à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et à l’École Boulle.

Son travail se concentre principalement sur la forêt, avec la volonté d’y extraire des moments perçus au cœur de la nature et d’en retranscrire les sensations en volume par la sculpture, ou en image par la photographie. Chaque projet sculptural, chaque image, naissent d’une observation attentive d’éléments qui ont marqué ses sens au cours de ses échappées. Sa relation au temps est primordiale : tout au long de ses marches, l’artiste cueille des morceaux d’arbres autant que des instants.  

Vincent Laval puise au cœur de la forêt les matières, les images, les émotions qui deviendront ensuite des œuvres. Les objets et les idées qu’il collecte se transforment et se modèlent par les savoir-faire de l’artiste. En mêlant le végétal, l’animal et le non vivant ainsi que de nombreuses techniques, son œuvre joue sur la tension entre le monde concret et l’espace cosmique. Son travail représente ainsi cette dualité à laquelle il est confronté, être sur le fil des deux mondes ; celui du sauvage et celui que nous avons créé.

La forêt est ce qui m’anime, m’émerveille, me fait douter, me donne envie de me battre, de créer et de voir demain. J’apprends à accepter que je ne ferai partie d’elle qu’en visiteur amoureux, qu’en animal qui, en franchissant la lisière, se rappelle qui il aurait pu être mais aussi qui il voudrait devenir : un élément de l’équilibre des choses.


En tant qu’artiste représenté par Sustainable Art Market, Vincent reverse 5% de ses ventes à l’association Francis Hallé pour la forêt primaire.

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QUAND L’ART DIALOGUE AVEC LA FORET – CONFERENCE
Samedi 19 mars 2022

La forêt n’a jamais cessé d’occuper l’imaginaire et la vie des artistes et la période actuelle ravive ce lien ancestral. Fabrice Hyber, à la fois artiste, créateur d’une forêt et premier ambassadeur du fonds de dotation « ONF – Agir pour la forêt », Eva Jospin, qui échafaude de fascinantes forêts en carton, et Vincent Laval, « artiste-marcheur-cueilleur » engagé dans la protection des forêts, sont trois artistes emblématiques de ce lien. Une table-ronde animée par Alice Audouin, fondatrice d’Art of Change 21 et commissaire d’exposition.




Solo show de Vincent Laval

Dans le cadre du Parcours “Art et environnement” d’Alice Audouin

Galerie Sono, stand I11 à Art Paris, Grand Palais éphémère, Paris

Plus d’informations


Article : Les artistes « verts » de Poush dans Les Echos Planète


FIAC Hors-les-murs 2021

au Jardin des Tuileries, Paris – avec la Galerie Bertrand Grimont. Photo : Marc Domage

Grégoire Fournier

L’art est une expérience sensitive, expérimentale du corps et de l’esprit dont le geste créatif est le médium.

Dans le travail de Grégoire Fournier, nous retrouvons ces notions chères aux artistes pour qui le processus fait partie intégrante de l’œuvre d’art finale, pour ne pas dire que ce processus en est l’élément majeur.

En cela, sa démarche créative participe à s’intégrer aux mêmes questionnements et approches développés par l’Arte Povera. En effet, nous sommes face à l’importance du geste mais également le matériau choisi, naturel et réemployé ; un acte créatif en cycle, similaire à celui de la Nature. Un art total, immersif, aux frontières du méditatif et du Sublime.

Des notions qui nous mènent aux recherches de Mark Rothko dans les peintures duquel les notions de color-field et de all-over participent à l’ambition de rechercher la plénitude, le « plongeon » dans la couleur.

Invoquer Rothko face à une œuvre de Grégoire Fournier est un réflexe logique tant le geste est guidé, entremêlé intrinsèquement, par le spirituel, le hasard de la pensée.

Hasard ? Oui car les encres de Grégoire Fournier, comme le Végétal les composant, ne sont pas régies par la main de l’homme de façon autoritaire et anticipée. Elles accèdent, et acceptent, au caractère aléatoire des formes naturelles.

Un geste initié par l’artiste mais dont les conséquences ne sont que le résultat du hasard, de la spontanéité, telles les créations de Jackson Pollock pour qui la notion de « transe créative », issue de ses croyances fondées dans les forces naturelles et guidées par le chamanisme, est partie intégrante de son travail.

Expressionnisme abstrait, Arte Povera, all-over, color-field, art total… Regarder le travail de Grégoire Fournier c’est remonter le fil de l’histoire de l’art du XXe siècle. Plonger dans les courants artistiques modernes majeurs, ceux qui ont développé une écoute particulière pour la Nature, l’apaisement, le geste, le processus créatif.

Un kaléidoscope artistique réuni entre les mains de Grégoire Fournier, celles qui créent, qui manipulent, qui expérimentent. Celles qui rendent compte et hommage à la force et la puissance du règne végétal.


En tant qu’artiste représenté par Sustainable Art Market, Grégoire reverse 5% de ses ventes à l’association Zero Waste France.

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John Cowen

John Cowen est un artiste britannique dont le travail aborde la question de l’environnement et de l’impact de l’homme sur la planète. 

Il a étudié les Beaux Arts à l’université, se spécialisant en peinture, avant d’entamer une carrière de 20 années en tant que designer et directeur artistique. Bridé par les contraintes liées à ses engagements commerciaux, il a toujours rêvé des possibilités créatives illimitées qu’une carrière d’artiste peut offrir.

Depuis 2018, il se concentre sur son besoin de créer des œuvres qui traduisent son inquiétude concernant le dérèglement climatique. Cela a donné corps à un ensemble d’œuvres autour du sujet de l’Anthropocène, période actuelle des temps géologiques, où les activités humaines ont de fortes répercussions sur les écosystèmes de la planète. De loin, ses dessins ressemblent à des formes organiques. Mais en s’approchant, on remarque qu’ils sont formés de cartographies méticuleusement tracées. Le réseau familier de routes et de bâtiments crée des travaux hypnotisants. John Cowen espère qu’ils puissent sensibiliser au fait que la ville et le monde naturel entretiennent une relation symbiotique. Que nous devons en faire davantage pour vivre de manière durable et agir en gardant en tête le besoin de préserver les beautés et richesses de la planète.


En tant qu’artiste représenté par Sustainable Art Market, John reverse 5% de ses ventes à l’association Rewilding Britain.

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